L’une des principales préoccupations d’un DSI est de s’assurer que les services informatiques et le personnel d’une entreprise travaillent main dans la main à la poursuite des objectifs globaux de l’organisation.
Mais selon Sherif Sheta, DSI du Centre pour la commercialisation de la médecine régénérative (CCRM), les directeurs des services informatiques deviennent tellement absorbés par la partie technique de leurs activités qu’ils peuvent facilement perdre de vue l’aspect le plus important d’une entreprise : son personnel. Le CCRM est un organisme semi-privé situé à Toronto et œuvrant dans le domaine des sciences de la vie. Sa mission : développer et commercialiser de nouvelles techniques en matière de médecine régénérative et de thérapies géniques et cellulaires.
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« Quand j’échoue dans mon travail, c’est parce que je n’ai pas prévu l’impact qu’un changement technologique pouvait avoir sur le quotidien des employés », dit Sheta, qui se remémore certaines expériences négatives qu’il a vécues pendant sa carrière de 35 ans en informatique.
Le CCRM est financé par les gouvernements du Canada, de l’Ontario et des partenaires universitaires et privés. L’un de ses principaux objectifs : faire du pays un pôle incontournable dans la production de thérapies géniques et cellulaires.
Sherif Sheta joue un rôle crucial pour assurer l’atteinte de cet objectif. La compréhension de la culture d’une organisation, dit-il, est la clé du rôle d’un DSI « transformationnel » : il doit s’assurer qu’affaires et informatique parlent la même langue. « J’interviens pour changer la culture des TI. J’essaie d’harmoniser les technologies, toujours mouvantes, et l’activité commerciale. C’est ça, la transformation. »
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Source: News